Chevreuil ©Michael Arzur Photographie

L’exposition photos 2024 – Les candidatures sont closes

L’Office de Tourisme du Dévoluy invite plusieurs artistes à exposer leurs oeuvres pendant toute la durée du festival, à la maison d’accueil de Superdévoluy. Les artistes présents auront le plaisir de vous partager leur travail.
Un coup de cœur pour une œuvre ? Vous aurez la possibilité de commander un tirage photo directement sur place.

Vous souhaitez exposer ? Renseignez ci-dessous le formulaire à partir du 12 février 2024 et accompagnez-le d’un fichier pdf incluant :

  • une présentation personnelle
  • une photo auto-portrait
  • une présentation écrite de votre exposition
  • une mosaïque regroupant l’ensemble des images que vous souhaitez exposer.

Pour rappel, chaque exposant disposera d’un linéaire d’affichage de 6m, sur panneau d’exposition bois (2m de large par 2m de haut, en 3 panneaux). Les stands seront équipés d’une table et d’un point d’électricité.
Merci de prévoir votre éclairage en complément de l’éclairage en place.
L’équipe d’organisation reviendra vers vous avant le 1er mai 2024.


Découvrez les artistes et expositions de l’édition 2024 du festival de l’image :

Michaël Arzur, parrain du festival

Michaël Arzur, parrain du festival

Photographe professionnel depuis 2009 et basé dans les Hautes-Alpes, Michaël est passionné par la photographie de nature. Sa culture de l’image s’est construite au travers de grands noms de la photographie, mais aussi des petits talents cachés.

Passionné par les paysages de montagnes, il les parcourt chaque jour pour réaliser ses images. Il considère la photographie comme un art à part entière et de ce fait, chacune de ses images est développée dans une direction artistique qui lui est propre. Transmettre des émotions, faire voyager et raconter des histoires sont ses objectifs lorsqu’il appuie sur le déclencheur de son appareil photo.

L’exposition « Des Alpes à l’Islande »

Une exposition qui retrace son parcours photographique. Une aventure qui débute dans les Hautes-Alpes où il a découvert la puissance, la subtilité des paysages de montagne et la richesse de sa faune sauvage. Une itinerance photographique qui le mènera jusqu’en Islande, cette île volcanique isolée au beau milieu de l’Atlantique Nord. Notre planète regorge de véritables trésors. Des lieux, dont la beauté et la force qui s’en dégagent vont bien au-delà  de ce que l’on peut imaginer. Des forces colossales. Qui durant des millions d’années, ont façonnées, sculptées dans les moindres détails, des décors somptueux. Une œuvre si aboutie qu’elle a su accueillir la vie. Des merveilles d’adaptation qui, même dans les lieux les plus inhospitaliers, ont su trouver leur place. Dans ce fabuleux théâtre, nous aussi avons un rôle à jouer. Un rôle dont malheureusement, dépend la suite de l’histoire.

Michaël est également intervenant durant le festival et propose des masterclass et conférences.

arzurmichaelphotographie.com

Ambre de l'AlPe

Ambre de l'AlPe

Photographe, autrice, accompagnatrice en moyenne montagne, utopiste à temps partiel, … en quête de solutions et de cohérence.
Née en 1992 à Strasbourg, elle grandit en ville, en plaine, ne s’évadant que durant les vacances scolaires. Ses  grands-parents habitent dans les reliefs qui forment les premières chaînes du Jura, à l’extrême-sud de l’Alsace ; et elle apprécie les semaines passées à « la campagne », césures dans le quotidien bétonné. Mais depuis toute petite, c’est la période estivale qui a une saveur plus prononcée d’aventures : le moment où, avec sa mère, elle part camper quelques semaines dans les Alpes. Ce sont ces hautes montagnes, austères et fabuleuses, qui  l’attirent et qu’elle explore passionnément. Cette  escapade annuelle devient primordiale à mesure que les années s’écoulent.
Adolescente, elle s’initie à l’escalade et à l’alpinisme : peu à peu, les cimes, refuges isolés et neiges éternelles lui semblent plus accessibles… Au fil des sorties, elle emporte avec elle un appareil photo de plus en plus volumineux.
Après un bac scientifique et une fin de IVe cycle au conservatoire, elle met de côté son violoncelle et s’oriente vers une fac de médecine. Mais la nature et la beauté la séduisent davantage que l’ambiance compétitive et oppressante des amphis.
En 2012, abandonnant ses études, elle se lance en tant que photographe autodidacte.
Des raisons personnelles l’incitent à choisir un pseudonyme pour exercer, et elle opte rapidement pour « Ambre de l’AlPe », jeu de mot liant ses initiales et ses centres d’intérêt.
Peu de temps plus tard, Ambre quitte la plaine pour s’établir à temps plein dans la Drôme des collines, puis vers Grenoble. En quête de cohérence, elle tente de s’inscrire dans une éthique de vie en concordance avec le respect de la planète, dont elle essaye de partager la majesté.
Elle valide en 2016 la formation d’Accompagnatrice en Montagne et l’agrément ENS (Espace Naturel Sensible). De plus en plus, elle préfère illustrer l’environnement de proximité et encourager à la découverte des merveilles qui nous entourent. Dans nos vies empressées, il y a si peu de « choses » que nous prenons le temps d’admirer…

L’exposition « Le dépaysement aux portes de chez nous – Belledonne, Chartreuse, Vercors… à pied et à vélo »

Partir à l’aventure depuis chez soi, en France, c’est possible !…
Pour ma part, le point de départ fut à l’orée des Alpes, à proximité de Grenoble. En ligne de mire, trois écosystèmes montagnards bien distincts : le Vercors, la Chartreuse et Belledonne.
Le Vercors, massif calcaire, muré dans ses falaises. Au sein de la forteresse, tout là-haut, un plateau sauvage où minéral et végétal s’entremêlent, plus grande réserve naturelle de France métropolitaine. De rares gorges zèbrent la montagne, où l’eau de surface devient vite rare et précieuse.
La Chartreuse, hérissée de forêts, toute de vagues rocheuses se terminant en à-pics, abritant des vallons discrets, quelques cascades et une incroyable quantité de grottes.
Belledonne, avec ses pics lancés vers le ciel qui ne se lassent pas d’empaler les nuages, ses quelques reliques de glaciers, ses névés éternels planqués dans ses faces Nord et ses innombrables lacs aux nuances turquoise.
L’idée était simple : se focaliser sur un petit secteur de 5 km de diamètre représentatif de chacun des massifs, à explorer en y retournant au fil des saisons. Le but : capter un maximum d’atmosphères différentes, et tenter d’illustrer poétiquement la diversité – même paysagère – que recèle une zone restreinte… située à deux pas.
Pour tenter de pousser au maximum la cohérence de la démarche, et dans l’idée de vivre un vrai « voyage » sans s’éloigner, les sorties se sont effectuées à vélo et à pied au départ de chez moi.
ambredelalpe.com
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Association Photo Rhône-Alpes Nature (APRAN)

Association Photo Rhône-Alpes Nature (APRAN)

L’Association Photo Rhône-Alpes Natures (APRAN) a pour but de favoriser les rencontres entre photographes amateurs ou novices, désireux : 

  • d’échanger idées et connaissances dans tous les domaines de la photo nature,
  • de contribuer à la sensibilisation du public aux problématiques environnementales par la valorisation d’images.

Cette valorisation pourra se faire par le biais d’organisation de rencontres, d’expositions, de publications et d’éditions. Minimisation de notre impact carbone/émission de gaz à effet de serre et minimisation de l’impact sur le biotope visité font entièrement parties de nos préoccupations en tant que photographes de la nature.

L’exposition « D’ombres et de lumière »

Quand nous étions jeunes (photographes), on nous  conseillait souvent (trop !) de positionner le soleil dans le dos afin d’avoir le sujet bien éclairé. Cela faisait parti des règles incontournables à ne pas déroger, faute de  quoi nous étions voués à la disgrâce ou pire, aux  gémonies.
Ne craignant plus les supplices de la Rome antique, les photographes de l’APRAN ont bien vieilli et nous faisons maintenant fi de ces carcans archaïques et contraignants.
Photographier face au soleil afin de mettre en valeur le sujet par contre-jour a été le thème de notre dernier projet photographique permettant de vous présenter notre nouvelle exposition « D’ombres et de lumière ».
Explication sur le projet : tous les deux ans nous choisissons lors de notre Assemblée Générale, un thème sur lequel nous devons travailler, et nous avons in fine décidé, après bien des débats, de retenir le thème du contre-jour car nous ne l’avions jamais aborder auparavant et il représentait pour nous un challenge.

https://blog.apran.fr/

Carole Reboul

Carole Reboul

Née en 1973, auteur photographe, Carole Reboul vit dans les Cévennes gardoises.
Oscillant entre l’infiniment petit (la macrophotographie) et l’infiniment grand (les paysages de nuit), elle y retrouve les mêmes émotions, quelle essaie de retranscrire. Ces heures passées à contempler les étoiles, à rêver au clair de Lune, à suivre un papillon, à respirer une fleur, à admirer la lumière à travers les arbres, sont un vrai besoin vital. C’est une étape indispensable pour comprendre que nous ne sommes qu’une infime partie d’un ensemble plus vaste et si fragile où tout est lié.
Depuis une dizaine d’années, elle expose régulièrement dans des festivals photo nature, en France et à  l’étranger. Après deux livres sur la macro (Rêverie et Effleurements), un livre « Il était une fois la nuit »,
véritable plaidoyer de la nuit, est sorti fin 2021 aux éditions la Salamandre.
Suite à cela, elle tient des conférences sur la nuit et travaille notamment avec l’association Agir pour l’Environnement, pour proposer une exposition pédagogique, avec des posters, à disposition des scolaires.

L’exposition « Il était une fois la nuit »

Cette exposition est une ode à la nuit. Il est important de pouvoir observer le ciel étoilé, pour mieux comprendre notre place dans l’Univers.
L’obscurité est un besoin vital pour tous les êtres vivants, faune et flore y compris. Cet équilibre est fragilisé par la pollution lumineuse.
Heureusement, des solutions se mettent en place, afin que le ciel étoilé puisse continuer à être admiré par les générations futures.
Les tirages de l’exposition abordent les différentes facettes de la nuit : les étoiles, l’obscurité, la faune, l’émerveillement… Chacune des photos a été réalisée en utilisant des techniques totalement différentes, toujours à la prise de vue, sans retouche, en expérimentant sur les poses longues et la lumière, mais jamais de la même façon.

carolereboul.fr
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Denis Lionnet

Denis Lionnet

Amateurs de grands espaces, de préhistoire, de peintures rupestres, et fascinés par les cultures nomades, Denis Lionnet et son épouse Claudine, ont parcouru pendant une dizaine d’années le Sahara. La géopolitique limitant aujourd’hui les voyages dans cette région, les deux photographes se sont orientés vers les pays nordiques. Claudine et Denis sont toujours à la recherche de grandes étendues sauvages dans lesquelles les conditions climatiques sont extrêmes. Tout deux sont maintenant passionnés par la vie sauvage dans le nord, entre la Taïga finlandaise et les côtes de la mer de Barents…

L’exposition « Guerriers des glaces« 
Rescapé de l’ère glaciaire et de la préhistoire, il a côtoyé les mammouths et apparait sur les parois des grottes du paléolithique. Il s’est réfugié dans la toundra des régions arctiques. Les Inuits l’appellent Omingmak, « l’animal dont la fourrure est comme une barbe ». Il ressemble à un bœuf, escalade comme une chèvre, peut affronter des températures de -40 °C et des vents violents. Ovibos, le bœuf musqué, est un guerrier qui a résisté aux changements climatiques, aux prédateurs et au temps. 
Ils vivent en petits groupes et les mâles s’affrontent régulièrement pour connaitre le dominant. Les guerriers prennent leur élan sur les pentes gelées et se précipitent l’un vers l’autre comme les chevaliers du moyen âge avec leurs armures. Le choc est violent.

ennedi.fr

Fabrizio Viglione

Fabrizio Viglione

Italien installé dans la région grenobloise depuis plus de quinze ans, Fabrizio Viglione a toujours eu la passion pour la photographie. Il a commencé à prendre ses  premiers clichés avec un petit Yashica reçu en cadeau à l’âge de dix ans, pour ensuite passer aux appareils photo reflex, d’abord argentiques puis numériques. Après ses études, il a combiné cette passion pour la photographie avec celle du voyage, visitant et photographiant plus de trente pays répartis sur tous les continents. Amoureux des grands espaces, de la montagne, des animaux auvages et de la nature en général, il s’est spécialisé principalement dans la photographie de paysages et animalière, restant toujours ouvert à d’autres expériences comme l’astrophotographie et la macrophotographie. Photographe amateur, il aime partager ses images et discuter de tous les aspects de la photographie avec des passionnés de tous niveaux, pour inspirer les débutants et continuer à apprendre des plus expérimentés.

L’exposition « Patagonie – Sommets et faune d’une terre de légende »

Patagonie : une terre parmi les plus recherchées, rêvées et aimées de tous les voyageurs, une terre sauvage, vaste et divisée entre deux grandes pays, le Chili et l’Argentine. Une terre de contrastes et de merveilles de la nature, d’immenses glaciers, de montagnes aux sommets les plus majestueux du monde et théâtre d’ascensions mythiques, de steppes fouettées par le vent, de forêts tourmentées. Une terre légendaire d’une beauté extraordinaire, où la souveraine incontestée est Mère Nature.
Autant d’éléments qui se combinent pour faire des Andes patagoniennes l’une des plus belles destinations au monde pour les amateurs de photographie, et que j’ai eu la chance de visiter en avril 2023. Dans cette série, j’essaie de mélanger des images qui capturent la magie de ces lieux fantastiques avec celles de la faune qui les habite, des photographies des sommets les plus célèbres, aux portraits de l’animal le plus mythique de Patagonie, le puma.

https://fviglion.myportfolio.com/

Gérard Navizet

Gérard Navizet

Bien que né en 1952 à Grenoble, il ne s’est pas intéressé à la faune des montagnes, comme ses Alpes de naissance auraient pu lui y  conduire, mais plutôt aux espèces avicoles aquatiques. Son attirance pour la nature a commencé par une entrée en matière plutôt originale : la taxidermie. Lorsque il s’est décidé à troquer ses scalpels pour les téléobjectifs en 1983, il a rapidement porté ses choix sur une famille spécifique : les ardéidés. Pour les novices, elle regroupe les Hérons, Aigrettes et Butors.
Pendant 20 ans les « hérons » furent son principal axe de prises de vues sur 2 régions : La Dombes, située entre Lyon et Bourg-en-Bresse, et la Camargue que l’on ne présente plus. Cependant il a depuis son passage au numérique, le plaisir de déclencher sur d’autres espèces animales, qu’elles soient faites en France ou au cours de voyages à l’étranger, sur les insectes et sur les paysages.
La nouvelle technologie du drone a également modifié son regard sur la photographie. Il lui accorde aujourd’hui beaucoup d’importance pour les paysages. Toutes ses photos jusqu’en 2006 ont été faites en argentique. C’est seulement depuis 2007 que le numérique a fait son apparition dans son matériel. Quel prodigieux changement dans la prise de vue et que de nouvelles perspectives offertes !!!
Il a obtenu plusieurs prix photographiques dont celui du festival de l’oiseau en Baie de Somme et celui de Camargue, et le 2ème prix en 2005 au concours du marais de Séné. Enfin, il a publié plusieurs fois dans Nat’images et dans Terre sauvage.

L’exposition « Variation sur la buse »

Bien que qualifiée de commune, celle-ci est esthétique, variable de plumage, et ses interactions sociales avec d’autres congénères  peuvent être très démonstratives. Gérard Navizet a pu suivre pendant plusieurs années cette espèce. Également, par cette exposition, il souhaite montrer que des espèces locales, dites « communes », peuvent témoigner de la biodiversité et de la richesse du patrimoine de la métropole, tout autant que les autres espèces remarquables de la planète.

https://gerard-navizet.fr

Laurent Macquet

Laurent Macquet

Abreuvé par les célèbres romans de Jack London, comme un trappeur, dès 10 ans, il parcourait les bois avec son livre des traces en poche et apprenait à lire les passages des animaux, à mettre un nom sur les indices qu’il trouvait et à explorer des zones inconnues. Son grand-père et son papa l’ont également guidé pour lui faire ouvrir les  yeux et découvrir ce qui était invisible pour beaucoup mais tellement visible pour  qui sait regarder… Il les remercie de l’avoir mis sur le chemin, sur La TRACE… Il a appris seul pendant de nombreuses années en plus de son travail… Le pistage, l’observation, l’approche, l’art de se fondre dans le paysage… En 2014, il revient à sa passion d’enfance et souhaite immortaliser ses nombreuses rencontres naturalistes. C’est le début de la photographie animalière en autodidacte comme il a toujours eu l’habitude de le faire. Dès 2019, il se forme aussi en parallèle aux spécificités du milieu montagnard durant 5 mois auprès d’un organisme professionnel. En 2020, il saute le pas pour créer son entreprise de photographie. VIENZYLAHAUT. Aujourd’hui, de la passion il en a fait son activité : pisteur photographe animalier.

L’exposition « La saison blanche »

La trace du sauvage en hiver, dès qu’il fait mauvais temps il sort pour chercher  des clichés montrant les rudes conditions dans lesquelles tente de survivre la faune sauvage de montagne. Évoluer dans ces rudes conditions pour tenter de capturer un instant de vie sans déranger la faune est un challenge qu’il affectionne particulièrement. Dans ces moments-là, il se sent vivant et à la fois tout petit face à la montagne.

vienzylahaut.fr
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Marion Kabac

Marion Kabac

Chaos passionnel en quête d’émerveillement, Marion Kabac est photographe basée à Arvieux, au coeur du Queyras, où les montagnes demeurent son  environnement de création le plus précieux. L’artiste a ici noué un lien très fort avec la photographie naturelle éthérée et le paysage céleste.
C’est à l’adolescence que Marion choisit de se dévouer à l’expression artistique et à un parcours entièrement dédié à la musique et aux arts sonores. En premier lieu autodidacte dans le domaine de l’image, Marion a également suivi deux années de photographie numérique aux Beaux Arts d’Aix-en-Provence. De nature curieuse, l’artiste a ainsi expérimenté différentes pratiques de l’image avant de renouer avec une photographie naturelle et intemporelle, notamment grâce à la pratique de l’autoportrait.
Marion se consacre aujourd’hui à la composition paysages enchantés, de rêveries visuelles et célestes, tant contemplatives que libératrices, et avec le souhait d’émerveiller les coeurs sensibles.

L’exposition « Enchantées »

Photographies de paysages empreintes de rêveries et chansons d’amour, le recueil « Enchantées » propose une illustration romantique de nos reliefs, une lecture humaine, féminine et contemplative des paysages de montagne mis en scène par l’autoportrait.
Création peu commune autour du paysage de montagne, la photographie de portrait se révèle ici comme une douce attention humaine. Chaque photographie est imaginée comme une chanson que l’artiste compose, et interprète elle-même grâce à l’autoportrait. Dans le respect des environnements photographiés, de leur faune et de leur flore, cette démarche s’épanouit dans le choix de vie solitaire de l’artiste, ainsi que la quête d’estime de soi que nous poursuivons tous.

marionkabac.com
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Mathieu Pertus

Mathieu Pertus

Originaire d’Ardèche, j’ai eu la chance de grandir dans un fabuleux terrain de jeu sportif ! Les paysages extrêmement variés, dessinés selon les saisons, sont des nids d’émerveillement.
Depuis mon jeune âge, les sports de pleine nature me passionnent. Je les pratique et les observe exercés par les professionnels. Ils ont nourri mon imaginaire, mes rêves. Je me suis mis à la photographie avec ce patrimoine en mémoire.
En découvrant la slackline il y a 15 ans j’ai trouvé ma passion, cela m’a permis de trouver mon équilibre physique et artistique. Mon objectif est de relier deux montagnes, marcher dans les airs, traverser le relief
suspendu sur un fil. Photographier cette performance, cet équilibre précaire, devient très vite une évidence.

L’exposition « Accroché la lune« 

La découverte du sportif américain « Dean Potter » et d’une de ses vidéos, « Moonwalk », il y a 10 ans, invita la Lune dans mes rêves de photographies.
Plusieurs années plus tard et l’investissement dans du matériel adaptés, je me suis mis à chasser la lune pour la mettre en scène, lui faire raconter une histoire. Ce défi artistique, technique et sportif ne m’a plus quitté.
En quête de lumière, de jeux d’ombre, je suis animé par l’envie de sublimer l’existant : un clocher, un monument, une montagne…
J’aime aussi y inscrire de l’humain.
Je réitère l’exercice tous les mois, sans certitude. J’apprends à être au bon endroit au bon moment. Je calcule l’angle, les degrés, la distance. Je cours sur les montagnes, regarde ma montre, vérifie l’axe dans mon
ascension une dernière fois sur mon application, me poste là où je pense que l’alignement sera parfait puis, espère que les nuages ne fassent pas ombrage à mon défi.
Incertain sur le rendez-vous donné, je fais le gué, le coeur battant. J’attends tel un chasseur de poésie que ma muse apparaisse pour la capturer sans la dénaturer.
Ici pas de Photoshop, c’est là tout l’art de l’exercice !

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Rémi Bergougnoux

Rémi Bergougnoux

C’est assez tardivement qu’il découvre la photographie en tant que passion, même si l’image a toujours été une source d’inspiration et d’évasion. Etant amoureux de nature, c’est donc tout naturellement qu’il s’oriente vers la photographie de paysages en 2018. Aujourd’hui, il puise son inspiration photographique principalement dans les régions nordiques, désertiques ainsi que montagneuses. Son approche est généralement guidée par l’utilisation d’une focale ultra grand-angle afin de produire un effet immersif dans ses oeuvres. L’idée étant que le spectateur de ses photographies puisse éprouver au maximum les sentiments et sensations qu’il a vécu au moment où le cliché a été capturé.
Aujourd’hui, au-delà de la présentation de ces travaux lors d’expositions, il propose des voyages photos dans le monde entier en France et à l’international, ainsi que des stages et formations au niveau local.

« La photographie de paysage, c’est représenter le paysage en toute simplicité et sous un angle inhabituel, tout en faisant faire ressortir des émotions au travers de la complexité des lumières et autres éléments naturels.”

L’exposition « Symphonie Arctique : Entre Sérénité et Tumulte« 

Le cercle arctique reste une des régions les moins densément peuplées de notre planète de part son isolation et son climat. Cependant, cette zone du monde autrefois recouverte de glaciers, laisse admirer les paysages parmi les plus pittoresques de notre planète. Après avoir passé 3 mois à écumer cette zone en hiver, j’ai pu en apprécier sa sérénité, mais également son côté tumultueux et imprévisible. Des tempêtes de neige aux douces lumières du soleil rasant l’horizon en illuminant les décors polaires majestueux, cette exposition saura vous faire voyager au rythme de l’hiver arctique au travers de certains de mes clichés favoris.

remibergougnoux.com
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Sébastien Krickx

Sébastien Krickx

Originaire de Bruxelles, Sébastien a depuis sa plus tendre enfance été attiré par la nature. Cette passion est née dès l’âge de 8 ans avec entre autres une attirance particulière pour l’ornithologie. Depuis lors, cette affection ne l’a plus jamais quitté. Sébastien ne compte plus les jours entiers passés à gambader entre ciel et mer, dans les bois, les prés, les dunes ou encore à travers les friches pour s’imprégner des couleurs et des sons de la nature.
Au début de l’aventure photographique, Sébastien a 18 ans et fait ses débuts avec un vieux bridge argentique. Le temps est aux premières armes avec son lot de joies et de désillusions. Après une décennie d’argentique et de Dias, il se convertit au numérique en 2005. Cette année-là marque également un tournant de sa vie professionnelle…il se consacre en effet à la conservation et la protection de l’environnement dans le cadre du projet « Natura 2000 ».
Néanmoins, La photographie animalière a bien changé ces dernières années et est surtout en perpétuelle évolution : l’image simple d’une espèce particulière ne suffit plus à se démarquer des autres clichés. Il faut savoir innover, travailler avec la lumière, oser des cadrages insolites et surtout considérer la photographie comme un mode d’expression personnelle.
Dans un style parfois diffèrent, un graphisme particulier ou des cadrages assumés, il nous transmet l’envie de montrer la beauté et la richesse de cette nature pour sensibiliser le commun des mortels à sa protection.
Un travail qui ne laisse personne indifférent… Venez donc découvrir ses dernières réalisations.

L’exposition « Immersion en Vanoise »

Après trois décennies de randonnées passionnées dans un des plus beau parc national d’Europe, j’ai décidé de compiler en image quelques une de mes plus belles rencontres. Ces espèces emblématiques de la faune et de la flore des Alpes sont accessible au commun des mortel… Mais prend on le temps de les admirer, moi je les sublime pour vous grâce à ma créativité artistique, par leur formes ou leur couleurs … Venez les découvrir.
En tant que photographe animalier, il me tient à coeur de mettre en valeur ce patrimoine pour sensibiliser le commun des mortels à sa protection. Il est important de présenter des espèces plus communes que tout le monde peut observer facilement. Certains individus sont au naturel et d’autres sont juste magnifiées par la lumière du soleil couchant…
Si ma mission est réussie, vous partirez sur les chemins du monde à la découverte de ces merveilles dès cet été !

sebastienkrickx.com/
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Sylvain Clapot

Sylvain Clapot

Animé d’un intarissable besoin d’altitude, conjugué à la solitude, il arpente les sommets alpins depuis une quinzaine d’années, à la recherche des plus beaux points de vue. Ses massifs de prédilection sont la Chartreuse, le Queyras, les Cerces, les Bauges, les Aravis, le Beaufortain, la Vanoise, les Aiguilles Rouges, sans oublier sa région natale qu’est le Bugey, aux confins de la chaîne du Jura dans le département de l’Ain. Les ambiances brumeuses et la quête de la belle lumière prennent chez lui un côté obsessionnel, au point de braver le froid, l’humidité et l’inconfort pour saisir des instants surréalistes, éphémères et oniriques…

L’exposition « Brumes alpines« 

Des paysages grandioses montrant la toute-puissance des éléments… L’exposition est une synthèse de plusieurs années de recherche de ces ambiances qui entourent de mystère et de magie les cimes alpines. Mers de nuages au crépuscule, poses longues qui transforment les Alpes en un immense archipel, déversoir, quiétude nocturne ou encore brumes post-orages sont autant de facettes peu banales de la montagne qu’il présentera au public.

figedansletemps.com/
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