Chevreuil ©Michael Arzur Photographie

L’exposition photos 2024

L’Office de Tourisme du Dévoluy invite plusieurs artistes à exposer leurs oeuvres pendant toute la durée du festival, à la maison d’accueil de Superdévoluy. Les artistes présents auront le plaisir de vous partager leur travail.
Un coup de cœur pour une œuvre ? Vous aurez la possibilité de commander un tirage photo directement sur place.

Vous souhaitez exposer ? Renseignez ci-dessous le formulaire à partir du 12 février 2024 et accompagnez-le d’un fichier pdf incluant :

  • une présentation personnelle
  • une photo auto-portrait
  • une présentation écrite de votre exposition
  • une mosaïque regroupant l’ensemble des images que vous souhaitez exposer.

Pour rappel, chaque exposant disposera d’un linéaire d’affichage de 6m, sur panneau d’exposition bois (2m de large par 2m de haut, en 3 panneaux). Les stands seront équipés d’une table et d’un point d’électricité.
Merci de prévoir votre éclairage en complément de l’éclairage en place.
L’équipe d’organisation reviendra vers vous avant le 1er mai 2024.


Découvrez les artistes et expositions retenus pour l’édition 2023 du festival de l’image :

Michaël Arzur, parrain du festival

Michaël Arzur, parrain du festival

Photographe professionnel depuis 2009 et basé dans les Hautes-Alpes, Michaël est passionné par la photographie de nature. Sa culture de l’image s’est construite au travers de grands noms de la photographie, mais aussi des petits talents cachés.

Passionné par les paysages de montagnes, il les parcourt chaque jour pour réaliser ses images. Il considère la photographie comme un art à part entière et de ce fait, chacune de ses images est développée dans une direction artistique qui lui est propre. Transmettre des émotions, faire voyager et raconter des histoires sont ses objectifs lorsqu’il appuie sur le déclencheur de son appareil photo.

L’exposition « Islande, terre de légendes »

Michaël Arzur vous emmène en terre de glace et de feu. L’Islande et ses paysages hors du commun. Nous partons faire le tour de l’île en itinérance. L’Islande sait vous en mettre plein les yeux. Le Haut-Alpin rêvait depuis toujours de photographier les paysages de cette île, ses lumières et ses ambiances, et c’est chose faite. C’est au travers de son regard qu’il vous emmène pour un tour de l’île en 10 jours.

Michaël est également intervenant durant le festival et propose des masterclass et conférences.

arzurmichaelphotographie.com

David Guerre

David Guerre

Originaire de la Creuse, David Guerre est arrivé dans le Gard à l’âge de 11 ans.
Grand amoureux de la nature et de la photographie depuis sa jeunesse, c’est vers ses 20 ans qu’il décide d’approfondir ses connaissances dans ce domaine afin d’évoluer au fil des années pour enfin lancer son entreprise.
Il parcourt la France, tout en gardant une attache particulière aux Cévennes, avec son boîtier pour immortaliser les plus beaux moments, que la nature peut nous offrir au fil des saisons.

David pratique surtout la photographie de paysages avec une préférence pour la saison hivernale mais aussi les traques orageuses et la photographie animalière. Depuis quelque temps, le photographe travaille aussi sur des reportages photos, en collaboration avec les sapeurs-pompiers du Gard et le Centre National de Formation des Secours en milieu périlleux et montagnard.

L’exposition « Un hiver sur l’Aigoual »

Le Mont Aigoual, point culminant du Gard est connu pour sa météo capricieuse, ses cumuls de pluviométrie record et des conditions hivernales, parfois extrêmes, mais qui offrent des paysages d’une beauté incomparable.

Cette exposition hivernale est le fruit de trois hivers de travail dans les conditions les plus extrêmes que le Mont Aigoual peut nous offrir, afin d’obtenir les images que David Guerre souhaitait. Elle est composée de treize images avec des ambiances différentes, dans lesquelles on ne retrouve jamais les mêmes couleurs. David espère vous transmettre à travers ses images, toute l’émotion qu’il a pu avoir face à cette beauté des paysages enneigés, la beauté éphémère de l’hiver.

elementsdeclencheursdavidguerre.com

Pierre Bottex

Pierre Bottex

Bien qu’il soit né dans une grande ville, Pierre Bottex est depuis son enfance immergé dans les paysages de montagne, étant issu d’une famille passionnée d’alpinisme et de randonnée. C’est qu’après l’acquisition de son premier reflex numérique que Pierre s’engage dans la photographie de montagne, dans une démarche artistique. De longues heures de bivouacs en solitaire lui ont permis de capturer des ambiances, que seule la montagne sait offrir à qui veut bien y passer la nuit. À l’issue de nombreuses rencontres avec des photographes dans son travail, ce dernier a su affûter son regard et trouver son style.

L’exposition « Poèmes lacustres »
Consacré aux lacs d’altitude, cette exposition est la représentation du travail compulsif qu’exerce Pierre Bottex depuis une quinzaine d’années. Au fil du temps, le photographe s’est aperçu que ces choix de bivouacs avaient comme points communs la proximité immédiate avec les lacs de montagnes, photographiés généralement en grand angle, tôt le matin ou bien tard le soir. Petit à petit, des poèmes absurdes en prose ont fini par accompagner la diffusion de ses photos, donnant son nom à cette série.

dansloeildupierrot.com

Sylvain Guyon

Sylvain Guyon

Sylvain Guyon est un voyageur photographe, âgé de 38 ans, spécialiste des régions polaires. Récemment, le photographe originaire de Fontaines-sur-Saône a exposé au salon monts d’or photo, près de Lyon. Il conserve depuis sa tendre enfance une certaine fascination pour les pays nordiques. Petit, Sylvain lisait des romans et regardait des films sur les grandes histoires de trappeurs dans le grand Nord. Mais ce n’est que tardivement, que ce dernier s’est décidé à se lancer, lui aussi dans ses propres aventures polaires. À pied, en raquettes, ou en skis, voilà maintenant plusieurs années que Sylvain Guyon parcourt principalement en solitaire, l’immensité des régions arctiques et subarctiques. Par ses photos et son blog contenant ses carnets de voyage, le voyageur photographe cherche à faire découvrir au plus grand nombre la beauté de ces lieux. À priori hospitaliers, ces paysages se révèlent pourtant être remplis de richesses, de douceur, de magie, de contraste et de couleurs, pour qui se donne la peine de les chercher.

L’exposition « Jour blanc »

Une série à tendance minimaliste et quasi monochromatique, où il cherche à montrer la pureté et l’immensité des paysages polaires, dans lesquels semblent se perdre faune, humains et constructions. La plupart des photos qui la composent semblent absorbées par cette blancheur : les contrastes, les couleurs et les bruits. Tout est feutré et rien ne semble pouvoir perturber ce calme. Cette ambiance, si particulière, est troublante pour nos sens, car nous y perdons tous nos repères, au point d’être parfois pris de vertige.
Doux pour certains, angoissants pour d’autres, ces jours blancs, laissent rarement indifférent.

evasion-boreale.fr

Martine Ravet

Martine Ravet

Photographe amatrice, Martine Ravet est engagée bénévolement dans des actions en faveur de la nature. Actuellement, cette dernière fait partie de plusieurs associations de protection telle que Lo Parvi, ASPAS, IGMA biodiversité et Groupe Tétras Jura. Martine est responsable au sein de Lo Parvi, des actions de prospection Grand Dur et lynx, dans lesquelles elle encadre des sorties grand public (découverte des oiseaux d’eau, des papillons de jour, du grand duc). Elle effectue depuis des années, le comptage international des oiseaux d’eau Wetland, et participe régulièrement à des chantiers nature comme la réouverture de milieux, la plantation de haies ou encore la pose de nichoirs.
La photographe fait actuellement partie de l’APRAN (Association Photographes Rhône Alpes Nature), où elle a eu l’occasion d’exposer à plusieurs festivals, dont le festival Nature Ain à Hauteville-Lompnes, Natur’Varennis à Varennes les Mâcon et Fest’Aubrac. Martine Ravet aura la joie et l’honneur de présenter cette exposition au Festival pyrénéen de l’image nature à Cauterets en septembre 2023.

L’exposition « Épure« 

Martine Ravet opte pour une exposition en noir et blanc en hommage à ses premières amours photographiques. Elle fait le choix d’opter pour le biotope qui lui correspond le mieux : celui de la montagne. Des photos prises dans les Pyrénées ou les Alpes, qui sont pour toutes dans l’intention d’une démarche de découverte et de respect de la faune et de la flore.

Claudine et Denis Lionnet

Claudine et Denis Lionnet

Amateurs de grands espaces, de préhistoire, de peintures rupestres, et fascinés par les cultures nomades, Claudine et Denis Lionnet ont parcouru pendant une dizaine d’années le Sahara. La géopolitique limitant aujourd’hui les voyages dans cette région, les deux photographes se sont orientés vers les pays nordiques. Claudine et Denis sont toujours à la recherche de grandes étendues sauvages dans lesquelles les conditions climatiques sont extrêmes. Tout deux sont maintenant passionnés par la vie sauvage dans le nord, entre la Taïga finlandaise et les côtes de la mer de Barents…

L’exposition « Ambiance hivernale dans la Taïga »
Les conditions en hiver dans la Taïga finlandaise sont quelque peu extrêmes. Paradoxalement, cela laisse place à la neige et au givre ainsi qu’à la lumière clairvoyante des hautes altitudes. Se dessinent alors, des paysages minimalistes d’une douceur incroyable. Ces univers glacés hébergent une faune sauvage, en habits hivernaux. La neige, la glace et le blizzard émergent et gomment sur leurs passages tous les éléments perturbateurs, permettant d’accéder à l’essentiel : l’ambiance et l’émotion d’une rencontre avec une chouette lapone.

ennedi.fr

Aude Nowak

Aude Nowak

Adepte de la photographie nocturne depuis l’adolescence et l’époque de l’argentique, Aude se focalise sur l’astrophotographie et particulièrement sur la photographie de paysages nocturnes grâce à l’évolution des technologies. Française, voyageuse, aventurière et passionnée de nature, elle a vécu plusieurs années dans divers pays en Europe (Angleterre, Suisse), Asie (Laos) et Afrique (Mozambique), avant de s’établir en Haute-Savoie en 2015. Son travail photographique reflète ce caractère aventureux et voyageur. Il explore les paysages des Alpes comme ceux d’autres régions du monde en proposant une vision nocturne nouvelle et différente.
La plupart de ses images sont prises dans des lieux particulièrement difficiles d’accès. Dans les Alpes, cela signifie souvent de longs itinéraires dans des conditions difficiles avec le poids du matériel photographique en plus du matériel de sécurité nécessaire. Dans d’autres régions du monde, cela signifie des réserves d’eau, de nourriture et d’essence dans une voiture traversant des milliers de kilomètres dans des zones isolées et hostiles.

L’exposition « Nuits lointaines »

L’exposition proposée est le fruit d’un travail astrophotographique réalisé entre 2020 et 2023. Elle offre au public un voyage au travers de paysages nocturnes lointains et sauvages de notre planète. Vous découvrirez non seulement les ciels nocturnes des deux hémisphères de la planète, mais aussi des paysages lointains peu ou pas connus et en tous les cas hostiles et difficiles d’accès. Les ciels de l’hémisphère nord seront représentés par les paysages des Alpes tandis que les ciels de l’hémisphère sud seront représentés par les paysages du nord du Chili. Le choix de ces deux lieux de prise de vues n’a pas été le fruit du hasard. En effet, tant les ciels alpins que chiliens comptent parmi les plus purs de la planète pour la réalisation d’astrophotographie.

odysseysdream.com

Camille Niel

Camille Niel

Il s’appelle Camille Niel et à 35 ans pratique la photographie de paysages nocturnes. Cette discipline consiste à photographier un paysage de nuit tout en combinant une partie terrestre avec une partie céleste : la lune, un ciel étoilé, la voie lactée, etc. Pour créer ces photographies, Camille est en quête permanente de compositions originales et percutantes. Sa source d’inspiration, c’est en montagne qu’il la trouve. Habitant en Savoie, les sommets et autres cols sont ses terrains de jeu favoris, où on peut y trouver des choses atypiques se nichant dans nos montagnes. L’enjeu pour ce jeune photographe est de capturer des instants selon l’alignement des astres et de la Terre, qui n’est parfois possible que quelques jours par an.

La photographie est pour le savoyard une excuse pour vivre des micro-aventures. Passionné d’activités en montagne, il choisit ses « cibles » dans les hauteurs en fonction de ces capacités. Été comme hiver, Camille parcourt les sentiers à pied ou à ski de randonnée, sac sur le dos, pour atteindre ses objectifs. Ces expéditions la plupart du temps en solitaire, représentent parfois un sacré défi psychologique et physique.

L’exposition « De nuit« 

Lors du Festival de l’image 2023, Camille Niel souhaite présenter son travail et la nature, telle que nous n’avons pas l’habitude de la voir, c’est-à-dire la nuit. Pour ce faire, ce dernier tente à chaque fois de trouver un lieu emblématique, inédit et original afin de mettre au mieux en valeur ce si beau ciel. Chaque image reflète une aventure humaine unique, englobant une histoire particulière !

www.camilleniel.com | instagram.com/camille.niel_photography

Robby

Robby

Suite à un grave accident de la circulation en 2001, Robby s’est retrouvé handicapé d’un membre supérieur. Pour donner un sens à sa vie, il a décidé de s’orienter dans la photographie animalière. Originaire de Nice et amoureux de la montagne, c’est dans les Alpes que Robby décide de commencer l’aventure. Son temps est alors entièrement consacré à sa passion

L’exposition « Regard sur les Alpes sauvages »

L’homme parcourt les Alpes du sud au nord, là où la terre et le ciel se rejoignent, parfois dans l’azur, parfois dans les nuages. C’est dans ces moments, que son regard va alors dénicher l’inimaginable, l’incroyable, la stupéfiante beauté des lieux, pour affûter sa faune. À pied, à skis toujours muni de son appareil photo, Robby campe pour être à la naissance du jour, dans un endroit qui nous fera penser, sur les photos à la création du monde. Son but est de faire en sorte que nous admirons avec stupéfaction, les ambiances que la nature nous offre. Les Alpes représentent un terrain idéal pour photographier la faune et les paysages, à couper le souffle. Le photographe niçois prend toujours un immense plaisir à photographier cette nature, et espère que vous preniez autant de plaisir à contempler ces images.

focus-nature.fr

Vincent Astier-Perret

Vincent Astier-Perret

Savoyard installé dans le Diois depuis près de 20 ans (Drôme). Prof d’EPS spécialisé dans l’enseignement des sports de nature. Auteur photographe.

La photographie s’invite à la fin de son adolescence, admiratif des clichés de Pierre Pezet, qui illustrait sa passion d’alors (le kayak). Il se plaisait à admirer sa vitrine, dans la Grande Rue de Bourg-Saint-Maurice, riche d’images de sport, de montagne, de patrimoine local. Puis un appareil photo offert par ses parents (il mesure, 30 ans plus tard, la portée de cette douce attention…), et voilà qu’il s’adonne à ses premières prises de vue.

La passion photographique, bien que présente en lui, demeurera modeste de longues années, préférant alors l’action à la contemplation (pratique de la montagne sous toutes ses formes). Néanmoins, tout au long de cette période « latente », son œil s’affinera, inconsciemment sans doute, en parcourant les hauteurs, en plongeant son regard dans les bouquins spécialisés, en ressentant les émotions véhiculées par telles images de sport ou telles photographies de montagne, en admirant les clichés de nouveaux « modèles » dont il apprécie les réalisations.

Et puis, arrive la période où la passion, intérieurement mûrie, revient en force…! il progresse alors en autodidacte, s’enrichissant d’expériences et de conseils glanés ici où là!

Inspiré depuis son adolescence par Samivel (écrivain, aquarelliste, précurseur de la défense de l’environnement montagnard), il s’évertue à photographier le caractère sauvage de la montagne, ses lumières, sa pureté! Photographie militante !

L’exposition « Silhouettes« 

L’exposition présente une série d’images ayant pour fil conducteur la présence de silhouettes humaines, animales, minérales parfois, … donnant à l’œil du visiteur la dimension et la profondeur des paysages parcourus !
« Silhouettes » : Des images le plus souvent minimalistes. Un véritable plaidoyer pour une montagne pure, sauvage et préservée…!

regardsdenhaut.com

Julien Lacroix

Julien Lacroix

Auteur-photographe originaire de Haute-Savoie, né à Annecy en 1985, Julien a publié deux livres : “Les Grandes Solitudes de Jacques Balmat” et “Mon Guide” aux éditions Mons co-écrit avec l’athlète et guide, Mathéo Jacquemoud.
Il prône une approche itinérante, contemplative et émotionnelle de la montagne, dans laquelle la figure du sommet n’est pas centrale, sans objectif de performance. Selon Julien Lacroix, photographier la montagne, c’est faire le portrait d’un des visages de la Terre. Qu’il prenne la forme d’une cime, d’une crête ou d’une arête, il s’agit tel un exercice imposé d’y déceler sa grande beauté. C’est la substance de son travail : non pas photographier le vrai, mais photographier le beau. Et le figer sans aucune autre observation, moment furtif que chacun pourra ensuite interpréter à sa façon.

L’exposition« Je pense qu’il n’est pas nécessaire d’expliquer mon amour pour la montagne »
Cette collection de tirages est une célébration de la beauté brute et minérale des montagnes. Une autre approche de la montagne, infiniment personnelle et esthétique.
Les images en noir et blanc sont un hommage à la simplicité et à la puissance de ces paysages épiques. Avec une précision méticuleuse, chaque photographie capture les détails les plus fins des matières et des textures, créant une série de portraits impressionnants de la nature à son plus haut. Venez vous perdre dans la beauté austère et imposante de ces images de montagne, et découvrez la façon dont la photographie peut capturer l’essence même de la nature.

julacroix.com

Baptiste Deturche

Baptiste Deturche

Le monde du vivant et la biodiversité dans son ensemble est ce qu’il y a de plus précieux sur cette planète, selon lui. La vie aussi complexe soit elle est ce qui le passionne le plus.
L’envie de mettre sa pierre à l’édifice. Faire sa part en faisant découvrir la nature pour la faire aimer et la faire protéger. c’est cette philosophie qui l’anime depuis de nombreuses années.
Formé à l’environnement et à la réalisation de documentaire animalier, il porte un regard passionné sur ce monde qui nous entoure.
En 2017, il rencontre Anne et Erik Lapied et travaille sur leurs 3 prochains films, l’année suivante, il réalise le montage du film de Daniel Rodrigues, en 2018, il part en tournage pour le film Echilibru, dans la peau de l’Ours. En 2019, il se lance dans l’aventure de la réalisation de son premier film et en 2020 ce film, Fjellrev, la quête scandinave est achevé.
En 2022, je réalise mon nouveau film : Le Pari.
Il s’est également pris de passion pour la transmission du savoir et œuvre auprès des scolaires pour amener un peu de sauvage en classe.

L’exposition « Le pari »

Le Pari est un film animalier dont les vedettes sont les galliformes de montagne…
Les galli quoi ?
Les galliformes, ces oiseaux de plus en plus rares et menacés que l’on retrouve dans nos montagnes françaises! Non toujours pas ?
Si je vous dis grand tétras, tétras lyre, lagopède, gélinotte et bartavelle ?
Et bien les galliformes de montagne, ce sont ces oiseaux, et ce sont les sujets principaux du nouveau film animalier de Baptiste Deturche.
Découvrez ces espèces et apprenez à les connaître pour mieux les protéger !

Baptiste animera pendant le festival une masterclass « Apprendre à filmer avec son appareil photo ».

baptistedeturche.com

Adrien Favre

Adrien Favre

Il est parfois des évènements qui changent une vie.
En janvier 2015, un séjour en Inde pour une ONG est pour Adrien une révélation, il décide de se consacrer à la photographie d’animaux sauvages.
Obsédé depuis son enfance par le temps qui passe, la photographie lui permet de figer tous ces instants passés auprès du sauvage. Comme un devoir de mémoire, ces milliers de photos entassées sur disque dur deviennent alors des souvenirs impérissables.
Amoureux des grands espaces, l’Amérique du nord, l’Asie, l’Europe sont autant dedestinations qui lui offrent la possibilité de découvrir d’autres cultures et les derniers endroits sauvages de la planète pour en rapporter des images toujours empreintes d’une sensibilité et d’une poésie qui lui sont propres. Aujourd’hui c’est le beau et authentique massif du Jura qui le retient et lui offre de belles rencontres sauvages.
Photographe et réalisateur autodidacte, Adrien a à coeur de s’engager pour défendre le Vivant et soutenir différents projets dédiés à la protection de la faune sauvage. Depuis 2021,il est également co-fondateur de la maison d’édition Melrakki, entièrement dédiée aux projets d’auteurs, d’illustrateurs et de photographes engagés à travers leur démarche artistique, pour défendre la Nature et le monde animal.
Récompenses et parutions :

  • Prix du Film Engagé, Namur, 2019
  • Prix du Public, Nikon Film Festival, 2018
  • « Le Temps des Forêts » – Décembre 2021 – Livre photographique
  • « Carnet Sauvage » – Octobre 2019 – Livre photographique

L’exposition « Le temps des forêts »

Cette exposition a pour volonté de présenter des milieux sauvages et leurs habitants aujourd’hui fortement impactés par le réchauffement climatique. Problématique qui n’est pas spécifique à certaines régions et qui touche aujourd’hui la faune sauvage du monde entier.

Passionné et engagé, Adrien Favre souhaite partager son goût profond pour le Vivant qui nous entoure. Il nous invite à poser un autre regard sur ce monde dit “sauvage” et à prendre conscience de l’universalité de ce problème à travers des clichés poétiques et esthétiques.

Le médium photographique offre alors un regard sensible et éternel sur ce monde. Les œuvres exposées aux ambiances hivernales, dans des décors épurés, viennent mettre en exergue la beauté et la fragilité de ces lieux ainsi que l’importance de l’attention que nous devons poser sur eux et les âmes qui les peuplent. A l’heure du défi écologique, il est temps pour nous, spectateurs, de (re)découvrir ce monde sensible, de défendre et d’augmenter le Vivant, de lui donner de l’espace et du temps pour vivre.

Du Canada à la France, il aura fallu plus de trois années de travail à l’auteur pour aboutir à ce projet photographique qui a pris naissance en Amérique du nord et qui s’est terminé en France : un long parcours initiatique. Les œuvres présentées sont accompagnées du deuxième livre d’Adrien Favre qui donne son nom à l’exposition et qui mêle photographies et textes de l’auteur toujours très personnels et engagés, à travers lesquels il exprime tout son ressenti et ses réflexions qui naissent au fil de ses observations.

Adrien animera pendant le festival une masterclass autour de la découverte de la faune sauvage.

adrien-favre.com

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